Comment ne plus être esclave, de soi-même, de Satan & du monde ?
Dans la Parole, particulièrement dans les épitres, le mot
"nous/vous" a un sens très précis. Il n'inclut pas automatiquement
tous les lecteurs. Le "nous/vous" se réfère exclusivement à ceux qui
possèdent la vie divine, ceux qui sont nés de nouveau, à savoir ceux qui sont
passés par une
vraie conversion. Personne n'est rejeté, car il suffit de répondre à
l'appel de Dieu, pour passer par une vraie conversion, il n'y a rien de
"mystique" en cela. C'est tout simple, encore faut-il faire le pas
avec Dieu.
Il y a dans la chrétienté une grande confusion, on ne fait pas cette
distinction, car on appelle conversion, une option de vie, se trouver bien dans
tel et tel environnement, coloré du nom de Jésus ou de Dieu. Il y a dans la
chrétienté, des " vierges prudentes
" et des " vierges folles
".
Nous nous excusons d'insister sur ce point, mais il est capital et
vital, il en va de l'avenir éternel du
lecteur!
L’apôtre Paul nous dit : « … je ne vis plus, moi, mais Christ
vit en moi ; … » Galates 2 verset 20
Depuis la chute dans le jardin d’Eden, le péché étant introduit dans le
monde, les hommes, toute la race d’Adam (le premier Adam) sans aucune exception
(donc toi et moi compris) sont devenus esclave du péché, ce générateur de
pensées et d’actes offensant Dieu, donc esclaves d’eux-mêmes (donc de moi-même en tant que fils du premier Adam), de Satan qui a
pouvoir sur l’homme à cause de leur nature pécheresse, et par la même ils (vous
et moi aussi en tant que fils du premier Adam)
sont aussi esclaves du système, appelé de monde, monde économique, industriel,
artistique & religieux, dont Satan est le prince.
Je suggère de lire le message intitulé : " Le captif de
l'homme fort lui sera enlevé … " (Esaïe 49 v. 25)
L’homme dans sa nature est dans cet état là jusqu’à son dernier souffle.
Il n’y a aucun espoir pour lui d’en échapper. La conversion, aussi réelle qu’elle
soit, ne change rien, quand à la nature humaine. Le cœur naturel de l’homme, donc le vôtre et le mien,
reste mauvais et ne changera jamais ! La religion essaie
d’enseigner qu’il y a des ressources en invoquant jusqu’à l’amour de Dieu, pour
que l’homme naturel soit transformé ! C’est faux, et ce sont ces faux
enseignements qui font passer par des angoisses terribles des âmes sérieuses
vraiment converties lorsqu’elles font l’expérience, en examinant leur cœur
naturel, que celui-ci n’est pas changé ! Cela les conduit à douter de leur
salut (voir le message intitulé : « Qui peut être absolument
certain d'être sauvé pour l'éternité ? »)
Elles font l’expérience de cette âme, dont l’apôtre Paul en décrit
l’état dans le chapitre 7 de l’épitre aux Romains :
« … mais moi je
suis charnel, vendu au péché ; car ce que je fais, je ne le reconnais
pas, car ce n’est pas ce que je veux, que je fais, mais ce que je hais, je le
pratique. Or si c’est ce que je ne veux pas que je pratique, j’approuve la loi,
reconnaissant qu’elle est bonne. Or maintenant, ce n’est plus moi qui fais
cela, mais c’est le péché qui habite en
moi. Car je sais qu’en moi,
c’est-à-dire en ma chair, il n’habite point de bien ; car le vouloir est avec moi, mais accomplir
le bien, cela je ne le trouve pas. Car le bien que je veux, je ne le pratique
pas ; mais le mal que je ne veux
pas, je le fais. Or si ce que je ne veux pas, moi, — je le
pratique, ce n’est plus moi qui l’accomplis, mais c’est le péché qui habite en moi. Je
trouve donc cette loi pour moi qui veux pratiquer le bien, que le mal est avec moi. Car je prends plaisir
à la loi de Dieu selon l’homme intérieur ; mais je vois dans mes membres
une autre loi qui combat contre la loi de mon entendement et qui me rend captif de la loi du péché qui
existe dans mes membres. Misérable homme
que je suis, qui me délivrera de ce corps de mort ? »
Si quant au cœur naturel, il n’y a aucune différence entre un vrai
croyant, passé par une vraie conversion, et un homme, religieux ou pas, qui
n’est pas passé par une vraie conversion, dans la vraie conversion même, il y a une énorme différence, le vrai croyant possède la
vie divine, l’autre ne la possède pas.
Celui qui n’est pas passé par une vraie conversion, ne comprend pas exactement
ce que veut dire le passage de Romains 7 cité plus haut. Surtout si cette
personne est religieuse, elle aime entendre ce qui lui plaît, elle aime que
l’on joue avec ses émotions, dans un cadre agréable, musical etc. … et
s’imagine, qu’elle aime Dieu de tout son cœur, son prochain comme elle-même,
…. s’appuyant sur un jeu d’émotions que le
Diable sait manipuler, depuis Caïn. Ces personnes sont confortées dans leur
pensées par les faux serviteurs, se prétendant serviteurs de
Dieu. Ces personnes ont alors l’illusion d’être sauvées, se basant
sur les émotions qu’elle créent en elles-mêmes, elles
font partie des cinq
vierges folles de la parabole. Elle possède une lampe, à s’en méprendre,
elles ont l’air croyantes, mais il n’y a pas d’huile, la vie divine stimulée
par l’Esprit Saint, est absente !
Ceci dit, nous ne parlons, à partir d’ici, que des personnes qui sont
passées par une vraie
conversion. La vraie conversion, in fine, c’est l’application faite par Dieu à
l’âme, de l’œuvre accomplie à la croix par le Seigneur Jésus, et cela à l’âme
qui se reconnait perdue devant Dieu, lui ouvrant le secret le plus profond de
son cœur où se trouve ce mal mentionné plus haut, et qui croit Dieu, qui lui
fait une absolue confiance, et ainsi par la foi, en réponse à la foi, Dieu lui
donne la vie éternelle.
Dieu dit par Jérémie à Ebed-Mélec,
l’Ethiopien : « je te délivrerai,…, tu auras ta vie pour butin ;
car tu as eu confiance en moi ». (Jérémie 39 versets 17 & 18). Lire
aussi le chapitre 11 de l’épitre aux Hébreux au sujet d’Abraham.
Lorsque dans le texte, nous utilisons le mot croyant, ou chrétien, il
est implicitement parlé de personnes étant passées par une vraie conversion, et
possédant la vie divine.
Nous allons maintenant nous entretenir de cette vie-là, la vie nouvelle,
participant à la nouvelle création, étant elle-même une nouvelle création.
Dans la première création, Dieu a donné des lois, des ordonnances,
auxquelles l’homme est dans l’obligation d’obéir, bien qu’il n’en ait pas la
capacité à cause du péché en lui. L’homme est dans l’obligation de les
respecter toutes ! La dernière ordonnance de Dieu se trouve dans le livre
des Actes des Apôtres au chapitre 17 où il « ordonne maintenant aux hommes
que tous et en tous lieux, ils se repentent ». La première ordonnance est
relative au mariage en Genèse 2 au verset 24, et le Seigneur Jésus le rappelle
en Matthieu 19 au verset 6 « Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule
chair. Ce donc que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
pas ». Cela est valable pour toute l’humanité, depuis Adam et Eve.
L’homme, en tant que créature, est dans l’obligation de le respecter, mais que
dire sur ce sujet, même parmi les chrétiens !
La lecture des épitres aux Romains et aux Colossiens sont très
instructives quant au thème qui nous occupe. Je suggère au lecteur d’ouvrir sa
bible et de lire ces deux épitres. Cela l’aidera d’une part à mieux comprendre,
et d’autre part de constater lui-même, comme le faisait les croyants de Bérée,
qui examinaient chaque jour les écritures pour voir si les choses étaient
ainsi. (Voir Actes 17 verset 11). La foi est dans la Parole de Dieu, pas dans
ce qui est écrit ici, il faut s’assurer que c’est bien conforme aux écritures,
il y a dans le monde tellement de faux prophètes, que cette remarque est de
toute importance.
Dans l’épitre aux Romains, l’apôtre nous donne des enseignements très
utiles pour comprendre le thème de l’affranchissement, le passage d’esclave à
l’homme libre, libéré de l’esclavage du péché, de lui-même, de Satan et du
monde.
Dieu, dans les chapitres 1 à 3 fait toute une démonstration de la
culpabilité de tout être humain, à quelque nation qu’il appartienne, et de son
incapacité à répondre à la loi de Dieu : « … nous avons
… accusé … d’être tous sous le péché,… il n’y a point de juste, non
pas même un seul » (chapitre 3 versets 9 & 10)
… « afin que toute bouche soit fermée, et que tout le monde soit coupable devant Dieu » verset 19 … « nulle chair ne sera
justifiée devant lui par des œuvres de loi, car par la loi est la connaissance
du péché. » verset 20
Mais alors, l’apôtre Paul à partir de verset 21, ouvre l’Evangile de la grâce !
« Mais maintenant, sans loi,
la justice de Dieu est manifestée, témoignage lui étant rendu par
la loi et par les prophètes, la justice, dis-je, de Dieu par la foi en Jésus Christ envers tous,
et sur tous ceux qui croient ; car il n’y a pas de différence, car tous
ont péché et n’atteignent pas à la gloire de Dieu, étant justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est
dans le christ Jésus, lequel Dieu a présenté pour
propitiatoire, par la foi en
son sang, afin de montrer sa justice à cause du support des
péchés précédents dans la patience de Dieu, afin de montrer, dis-je, sa justice dans le temps présent, en
sorte qu’il soit juste et justifiant
celui qui est de la foi de Jésus. »
Voilà le point de départ !
Au chapitre 4, Dieu nous parle par l’apôtre Paul, du principe de la
foi : « c’est sur le principe de [la] foi, afin que ce soit selon la
grâce » (verset 16) … « ce qu’il a promis, il est puissant aussi pour
l’accomplir. C’est pourquoi aussi cela lui a été compté à justice. Or ce n’est
pas pour lui seul qu’il a été écrit que cela lui a été compté, mais aussi pour
nous, à qui il sera compté, à nous qui
croyons en celui qui a ressuscité d’entre les morts Jésus notre Seigneur, lequel a été livré pour
nos fautes et a été
ressuscité pour notre justification. » (versets
24 & 25)
« Ayant donc été justifiés sur
le principe de la foi,
nous avons la paix avec Dieu par notre seigneur Jésus Christ »
(Chapitre 5 verset 1)
Ensuite l’apôtre en développe les résultats
pratiques.
« Et non seulement cela, mais aussi nous nous glorifions dans les
tribulations, sachant que la tribulation produit la patience, et la patience
l’expérience, et l’expérience l’espérance ; et l’espérance ne rend point
honteux, parce que l’amour de Dieu est
versé dans nos cœurs par l’Esprit Saint qui nous a été
donné. Car Christ, alors que nous étions encore sans force, au temps convenable, est mort pour des impies. … Dieu constate son amour à lui envers nous,
en ce que, lorsque nous étions encore
pécheurs, Christ est mort pour nous. Beaucoup plutôt donc, ayant été maintenant justifiés par son sang,
serons-nous sauvés de la colère par lui. Car si, étant ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son
Fils, beaucoup plutôt, ayant été réconciliés, serons-nous sauvés
par sa vie. » (Versets 3 à 10)
Ensuite Dieu, par la plume de l’apôtre Paul, nous les 2
« races » : la « race » d’Adam et la «race » de
ceux qui sont dans le Christ Jésus :
« … comme par un seul homme » (Adam)
« le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi
la mort a passé à tous les hommes, en ce que tous ont péché… » (Verset 12)
« Mais n’en est-il pas du don de grâce comme de la
faute ? car si, par la faute d’un seul, plusieurs sont morts, … »
(verset 15)
« … beaucoup plutôt la grâce de Dieu et le don ont abondé envers
plusieurs, par la grâce qui est d’un seul
homme, Jésus Christ. »
(suite du verset 15)
« … Car
comme par la
désobéissance d’un seul homme plusieurs ont été constitués pécheurs, ainsi aussi par l’obéissance d’un seul, plusieurs seront constitués
justes. …. comme
le péché a régné par la mort, ainsi aussi la grâce régnât par la justice pour la vie éternelle par
Jésus Christ notre
Seigneur. » (versets 18 à 21)
Alors Dieu, par l’apôtre Paul, nous montre au chapitre 6 que le croyant
est affranchi, il n’est plus esclave, il n’appartient plus au monde où la loi
et le péché ont leur emprise, car «nous
sommes morts au péché »
(verset 2). Attention, Dieu ne dit pas ici de
nous faire mourir au péché, comme la religion l’enseigne ! Cela est
impossible, Dieu ne demande jamais à l’homme ce qui est impossible, sans en
donner les moyens ! Il affirme que nous
le sommes, en vertu de la
mort du Seigneur Jésus à la croix ! Il n’y a aucun
effort à faire, Dieu a tout fait, le
Seigneur Jésus a tout fait, il est entré dans la mort après
avoir été abandonné de Dieu, après ces trois heures éternelles d’abandon sur la
croix !
L’apôtre continue : « … nous avons été ensevelis avec lui …
afin que comme Christ a été ressuscité
d’entre les morts par la gloire du Père, ainsi nous aussi nous
marchions en nouveauté de vie. »
(verset 4).
« sachant
ceci, que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché soit annulé, pour que nous ne servions plus le péché. Car celui qui est mort est justifié du péché. Or si nous sommes morts avec
Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui, sachant que Christ, ayant été ressuscité d’entre
les morts, ne meurt plus ; la mort ne domine plus sur lui. Car en ce qu’il
est mort, il est mort une fois pour toutes au péché ; mais en ce qu’il vit, il
vit à Dieu. De même vous
aussi, tenez-vous
vous-mêmes pour morts au péché, mais pour vivants à Dieu dans le christ Jésus. » versets 6 à 11.
Se tenir soi-même pour mort au péché, ne veut pas dire se faire mourir
au péché. La mort eut lieu à la croix, elle ne doit plus avoir lieu. Se tenir
soi-même pour mort, signifie se tenir dans l’état dans lequel l’œuvre du Seigneur
Jésus a placé ce vieil homme, ce que je suis moralement en Adam,
c’est-à-dire dans la mort, c’est une
question de foi et pas d’action (attention, la religion
enseigne le contraire), question de
foi qui se traduit par des faits (les œuvres de foi).
C’est la fin morale de l’homme naturel (le vieil homme) en tant que fils
d’Adam, qui était soumis à la loi, mais le départ du nouvel home, ayant la
nature de Jésus, qui est lui sous le régime de la grâce. (Lire le verset 14).
Le nouvel homme n’est plus esclave du péché, de lui-même (le vieil
homme), de Satan (il n’a aucun effet sur le nouvel homme, sur la nouvelle
création) et du monde (car étant en Christ, il n’est pas du monde, comme le
Seigneur Jésus n’est pas du monde).
« … ayant été
affranchis du péché… » verset 18 … « maintenant, ayant été affranchis du péché et asservis à Dieu, vous avez votre fruit
dans la sainteté et pour fin la vie éternelle. Car les gages du péché, c’est la mort ; mais le don de
grâce de Dieu, c’est la vie
éternelle dans le christ Jésus, notre Seigneur. » Verset 22 & 23.
Alors vient au chapitre 7, l’exercice d’une âme, qui n’a pas encore bien
compris ce que nous venons de voir, et qui traverse ce que nous avons évoqué au
début de ce message.
Alors l’Evangile de la grâce continue au chapitre 8 : « il l
n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans
le christ Jésus ; car la loi de l’Esprit de vie dans le
christ Jésus, m’a affranchi de la loi du péché et de la mort ; car ce qui
était impossible à la loi, en ce qu’elle était faible par la chair, Dieu, ayant envoyé son propre Fils en ressemblance de
chair de péché, et pour le péché, a condamné le péché dans la chair,
afin que la juste exigence de la loi fût
accomplie en nous, qui ne marchons pas selon la chair, mais selon l’Esprit. »
Voilà le nouvel homme, nouvelle création de Dieu, suite à l’œuvre de la
croix, possédant la nature divine, la même que le Seigneur Jésus lui-même, il
est rendu capable par l’Esprit de Dieu de marcher avec Dieu, sans contrainte,
sans loi ! Il n’a rien de commun avec le vieil homme qui est moralement
mort !
Le croyant sait que le chair, le vieil homme habite en lui aussi
longtemps qu’il est sur cette terre, mais ce vieil homme est moralement mort,
c’est une question de foi, et d’agir fonction de cette foi et en accord son
objet. Ainsi le croyant ne s’occupe pas de ce vieil homme qui est mort, mais il
vit ce que le nouvel homme vit, selon l’Esprit qui habite en lui.
Alors le croyant découvre un « monde » moral nouveau, qui n’a
rien de commun avec le monde dans lequel il vit corporellement.
« … la pensée de l’Esprit, vie
et paix ; … vous n’êtes pas dans la chair, mais dans
l’Esprit … si Christ est en vous, le corps est bien mort à cause du péché
… mais l’Esprit est vie … si l’Esprit de celui qui a ressuscité
Jésus d’entre les morts, habite en vous, celui qui a
ressuscité le Christ d’entre les morts vivifiera vos corps mortels aussi, à
cause de son Esprit qui habite en vous. … tous ceux qui
sont conduits par l’Esprit de Dieu, ceux-là
sont fils de Dieu … Car vous n’avez pas reçu un esprit de
servitude pour être de nouveau dans la crainte, mais vous avez reçu l’Esprit
d’adoption, par lequel nous crions : Abba, Père ! L’Esprit lui-même rend témoignage avec
notre esprit, que nous sommes enfants de
Dieu; et si nous sommes enfants, nous sommes aussi
héritiers ; héritiers de Dieu, cohéritiers
de Christ ; … je
suis assuré que ni mort, ni vie, ni anges, ni principautés, ni
choses présentes, ni choses à venir, ni puissances, ni hauteur, ni profondeur,
ni aucune autre créature, ne pourra nous
séparer de l’amour de Dieu, qui est dans le christ Jésus, notre Seigneur. »
Voilà comment l’homme peut être libéré de l’esclavage du péché, de
lui-même, de Satan et du monde.
Cela prend son point de départ à la croix, lors de la vraie
conversion.
ATTENTION:
Il est
important de faire la différence entre le péché en soi (la
racine) et le péché sur soi (l'acte commis).
A ce sujet, et pour plus de précision lire le message intitulé: Le péché en moi et
le péché sur moi, nuance très importante !
Puis-je suggérer au lecteur de relire l’ensemble des textes dans sa
bible, et demander à Dieu de lui montrer encore plus ce que ce texte a essayé
de mettre en évidence.
Si des points ne vous paraissent pas clairs, n’hésitez pas à poser des
questions via l’adresse email : bible@beauport.eu
Si le Seigneur Jésus vient à l'instant pour les siens, pour ceux qui
aujourd'hui refusent l'évangile de la grâce, il
sera trop tard pour se convertir plus tard, à cause de l'énergie d'erreur
que Dieu leur enverra (2 Thessaloniciens 2 v 11). S'ils vivent encore à la
venue du Seigneur en gloire (2ème venue), ils seront parmi les
maudits, pour en final comparaître devant le grand trône blanc (Apocalypse
20 v 11) et être jeté dans l'étang de feu (Apocalypse 20 v 15).
Lire le message relatif aux venues du Seigneur Jésus.
« Aujourd'hui, si vous entendez sa voix,
n'endurcissez pas vos cœurs ..."
Hébreux
3 v 15.