A quelle époque morale de l'histoire de l'Eglise sur la terre
sommes-nous aujourd’hui?
Dans la Parole, particulièrement dans les épitres, le mot
"nous/vous" a un sens très précis. Il n'inclut pas automatiquement
tous les lecteurs. Le "nous/vous" se réfère exclusivement à ceux qui
possèdent la vie divine, ceux qui sont nés de nouveau, à savoir ceux qui sont
passés par une
vraie conversion. Personne n'est rejeté, car il suffit de répondre à
l'appel de Dieu, pour passer par une vraie conversion, il n'y a rien de
"mystique" en cela. C'est tout simple, encore faut-il faire le pas
avec Dieu.
Il y a dans la chrétienté une grande confusion, on ne fait pas cette
distinction, car on appelle conversion, une option de vie, se trouver bien dans
tel et tel environnement, coloré du nom de Jésus ou de Dieu. Il y a dans la
chrétienté, des " vierges prudentes
" et des " vierges folles
".
Nous nous excusons d'insister sur ce point, mais il est capital et
vital, il en va de l'avenir éternel du
lecteur!
Les hommes, et principalement les chrétiens de nom qui n’ont pas la vie
de Dieu, veulent des choses « simples », qui leur conviennent et
isolent très souvent des passages des quatre évangiles hors de leur contexte et
en détournent le sens. Ils simplifient tout en éliminant la substance du
message de Dieu, et construisent ainsi une religion qui
les agrée, qu’ils appellent chrétienne. C’est ce qui caractérise l’époque morale
de l’église responsable sur la terre, qui se remarque très fort de nos jours.
Pour bien se comprendre, il y a l’Eglise,
corps de Christ, qui est composée de l’ensemble de tous les
vrais croyants, ceux qui sont passés par une vraie conversion,
qu’ils soient sous l’étiquette catholique, protestante, évangélste
ou autre. Mais les personnes portant le nom de chrétien (vrai ou simplement de
nom) constituent l’église responsable,
celle qui aurait dû être fidèle aux enseignements que le Seigneur a
donnés après sa mort et sa résurrection, après son ascension au ciel, après
la descente de l’Esprit Saint sur le terre.
L’Eglise responsable a pour devoir de refléter sur la terre ce qu’est l’Eglise,
corps de Christ. Ces enseignements ne se trouvent pas dans les quatre
évangiles, ils se trouvent dans les 23 autres livres qui les suivent. La Parole
de Dieu n’est pas limitée à quelques livres qui bien entendu en font aussi
partie.
Lors de la lecture des évangiles, le Seigneur suppose que nous avons
connaissance aussi des autres parties des écritures (évidement nous ne
connaissons qu’en partie, et chaque âme a besoin de faire des progrès, voir la
1ère épitre de Jean, où le Seigneur présente tous les stades
d’avancement : les petits enfants, les jeunes-gens et les pères). A titre
d’exemple, le Seigneur se réfère au livre du prophète Daniel en Matthieu 24 au
verset 16. Ce qui définit clairement le cadre terrestre de ce message contenu
dans les évangiles. La plupart des messages des évangiles sont en application
directe, littérale au résidu juif, mais ils contiennent un aspect moral, qui
concerne le croyant, chrétien de la période de la grâce.
Les évangiles rapportent la vie du Seigneur Jésus sur la terre, et nous
communiquent les enseignements qu’il nous a laissés, non seulement à nous
croyants appartenant à l’ère de la grâce (essentiellement dans son application
morale et non matérielle), mais aussi, et dans son application matérielle et
littérale au résidu juif qui attendait la délivrance d’Israël, et c’était bien
cela la première raison de sa venue. L’enseignement du Seigneur Jésus,
lorsqu’il était sur la terre, est essentiellement orienté vers le résidu, ceux
qui l’attendent en vue de l’établissement de son règne. C’est l’évangile du
royaume, dans son application matérielle et littérale. Les disciples, dans
le cadre des évangiles et pas après la Pentecôte (il y a une énorme différence)
ont une perception relative au règne, et les enseignements du Seigneur sont
aussi en grande partie dans ce cadre.
Les enseignements du Seigneur Jésus, dans les évangiles, ne restent pas
dans le cadre relatif à l’évangile du royaume que Jean le Baptiseur avait
commencé d’annoncer, ils donnent des indications prophétiques relatives à
l’Eglise. Il en annonce sa construction dans un futur, car
l’œuvre sur laquelle il allait la bâtir devait encore être accomplie. Sur
ce roc, Christ mort et ressuscité, et non pas un
homme, à savoir Pierre, qui est bien entendu une pierre vivante, contrairement
à ce qu’affirme une partie importante de l’église responsable.
Dès le rejet du Seigneur par son Peuple, le
royaume de Dieu, prend le caractère de royaume des cieux. Le siège de ce
royaume n’est plus sur la terre, mais dans les cieux. Ce qui concerne le
royaume de Dieu, ou le royaume des cieux, ce qui parle du même royaume, soit
dans son caractère divin, soit dans son caractère aujourd’hui céleste, est un
sujet qui n’est pas facile à traiter. Je ne m’y étendrai pas. L’Eglise est
partie intégrante du royaume des cieux, c’est même à elle que le Seigneur fait
allusion, en tant qu’église responsable, lorsqu’il il parle ce grand arbre
abritant les oiseaux du ciel dans Luc 13 verset 19, les oiseaux du ciel, image
du monde et de sa religion venant trouver refuge en elle.
Les chrétiens, possédant véritablement la vie divine (donc passés par
une vraie
conversion), s’ils sont partie prenante du royaume de Dieu, ils n’en sont pas les sujets ! C’est là une des grosses différences entre
l’évangile de
la grâce, prêchée aujourd’hui et l’évangile du
royaume, prêché au résidu juif avant que le Roi, le Messie, ne soit rejeté
et qui sera à nouveau prêché après l’enlèvement de l’Eglise, Corps de Christ (1
Thessaloniciens 16 & 17).
Les vrais croyants d’aujourd’hui sont membres
du corps de Christ, et eux seuls ! L’Eglise
corps de Christ est l’Epouse de Christ. Ils ont été élus, en
Christ, avant la
fondation du monde (Ephésiens 1 verset 4), ils sont dans une relation intime de
Père à fils et d’époux à épouse. Ils ne sont pas les sujets du royaume. Le
Seigneur Jésus n’est pas leur roi,
mais bien de ceux qui entreront dans le règne millénaire.
Lorsque le
Seigneur Jésus vient pour établir son règne (attention, ce n’est pas sa
venue pour les siens de 1 Thessaloniciens 4. Voir Apocalypse 20 et Matthieu 25
v 31 et suivant), alors les brebis qui sont mises à sa droite, le roi leur dira … « Venez les
bénis de mon Père, héritez du royaume qui vous est préparé dès la fondation du monde ».
Ceux-ci sont les sujets du roi de
justice et de paix, ils sont les bénis du Père du Seigneur Jésus (il n’est pas
dit de leur Père, comme au chrétien, vrai croyant d’aujourd’hui qui connait
Dieu comme Père, comme enfant de Dieu, pas seulement comme le Père du Seigneur
Jésus). Ils n’ont pas été élus avant la fondation du monde, mais ils
participent à un royaume qui a été préparé bien après que les vrais croyants,
membres du corps de Christ, aient été élus. Dès la fondation du monde, c’est
bien après avant la fondation du monde. La toute grande différence, et elle
explique les autres, c’est que les
membres du corps de Christ possèdent des bénédictions qui sont à la fois spirituelles et célestes. Les sujets du royaume auront des bénédictions matérielles et terrestres.
Les bénédictions de l’Eglise sont spirituelles
et célestes. L’Eglise est étrangère à ce
monde, elle appartient au
royaume de Dieu, sans en être les sujets mais l’épouse du roi, car ce monde est jusqu’à l’établissement du royaume millénaire le royaume de Satan. Il a dérobé ce royaume, mais il en est quand même
le prince. Lors de la tentation, Luc 4 verset 6 à 8, nous rapporte « Et le
diable lui dit : Je te donnerai toute cette
autorité et la gloire de ces royaumes ; car elle m’a été donnée, et je la
donne à qui je veux. Si
donc tu te prosternes devant moi, elle sera toute à toi. Et Jésus, lui
répondant, dit : Il est écrit : Tu rendras hommage au Seigneur ton
Dieu, et tu le serviras lui seul». Le Seigneur ne contredit pas le Diable, bien
qu’il ait volé ce qu’il prétend avoir reçu. Le
monde est aujourd’hui le domaine du Diable. L’église
responsable qui s’associe au monde, s’associe à son prince, le Diable.
C’est là que commence l’histoire de l’église responsable, dès qu’elle
est devenue partie prenante, dans l’organisation de ce monde. Ce qu’elle fait
toujours aujourd’hui dans une très large mesure.
Elle veut réformer le monde, le rendre meilleur, monde qui a crucifié le
Seigneur Jésus. L’église responsable a oublié au cours des temps qu’elle
n’était pas de ce monde, comme le Seigneur Jésus n’était pas de ce monde. Dans
une très large mesure, elle enseigne un « évangile » qui améliore
l’homme, un « évangile » qui rapprocherait de Dieu la nature humaine,
issue d’Adam. C’est la religion
de Caïn. Que dire du culte des Saints ? Des cierges brûlés à ceux-ci
afin d’obtenir des soulagements relatifs aux conditions de vie sur cette terre,
et même demander le rachat d’une âme après sa mort ! Toutes des
erreurs funestes, en contradiction totale avec l’évangile (de la grâce ou du
royaume, à ce point de vue, c’est vrai pour les deux).
On notera que les prophéties, en tant qu’annonce de ce qui va se passer
(la fonction d’un prophète du
nouveau testament étant toute différente) ne concernent que la terre. C’est
pour cela que l’on ne voit pas de définition de temps pour ce qui concerne
l’Eglise corps de Christ.
Mais quant à l’église responsable, le Seigneur Jésus fait des mentions
prophétiques à son sujet notamment : en Mattieu 24 v 45 à 51, concernant
l’esclave prudent et fidèle, mais du même esclave il est dit « mais si cet
esclave-là dit dans son cœur, mon maître tarde à venir… » ; en
Mattieu 25 v 1 à 13 la parabole des dix
vierges , Matthieu 25 v 14 à 30 la parabole des talents.
Le Seigneur Jésus en fait ensuite dans Apocalypse 2 & 3 retraçant
toute l’histoire (pour nous aujourd’hui, mais c’était une prophétie quand Jean
l’a mis par écrit). Ce sont les choses qui sont, et ensuite dès le chapitre 4,
les choses qui doivent arriver. (Voir Apocalypse 1 v. 19 où tout le contenu du
livre est défini).
Ceux qui diffusent les mensonges que propage l’église qui s’est
installée sur la terre en participant au gouvernement du monde de manière
directe ou indirecte, avancent l’argument, « personne ne connait ni le
jour ni l’heure » pour faire croire aux âmes que le monde va continuer
ainsi, et que la mission de l’église est de rendre le monde meilleur grâce à
l’« évangile » qu’elle annonce. C’est
tout à fait faux ! Ce sujet a été déjà abordé plus haut.
Mais pour une âme sincère, soumise à la Parole de Dieu, elle discerne
clairement, en lisant Apocalypse 2 & 3, que le caractère de l’église
responsable d’aujourd’hui est plutôt celui de Laodicée, cette église
responsable que le Seigneur va vomir de sa bouche, car c’est elle qui deviendra
la grande prostituée, qui s’associera a l’antichrist et fera souffrir les âmes
qui croiront à l’évangile
du royaume qui sera à nouveau annoncé.
Voilà l’état de la chrétienté. Il n’est pas difficile, pour un vrai
croyant de s’en apercevoir, il suffit de lire la plupart des messages placés
dans beaucoup de site internet, dont Facebook. La simple consultation de la
page « Confession de foi » ou autre et on n’y découvre aucune mention
de la venue du Seigneur Jésus pour enlever son Eglise, hors du monde
(1Thessaloniciens 4 v. 13 à 18). Le caractère des bénédictions spirituelles et
célestes du croyant est mis de côté. L’espérance du croyant d’aujourd’hui est
formulée en termes d’attente du règne millénaire ! Voici un exemple
« Nous croyons au retour en personne du Seigneur Jésus-Christ pour établir
son royaume glorieux avec tous ses rachetés. ». Vous noterez que cette
phrase dit clairement que le Seigneur Jésus vient seul pour établir son
règne avec tous ses rachetés (ceux-ci devant sans aucune distinction sujet du
royaume). Il y a confusion entre l’Evangile de la
grâce et celui du royaume.
Pour établir son royaume, le Seigneur Jésus vient avec son Epouse,
l’Eglise (l’ensemble de tous ceux qui avaient cru à l’Evangile de la Grâce) qui
a d’abord été enlevée de cette terre environ 7 ans plus tôt (1 Thessaloniciens
4), pour établir son royaume dans lequel les sujets qui y entrent sont ceux qui
alors auront cru à l’Evangile du royaume, qui sera à nouveau prêché après
l’enlèvement de l’Eglise (fin de la période de la Grâce). [Lire
1Thessaloniciens 3 v. 13 (il s’agit ici de témoignage, de sa venue publique
donc la 2ème venue), Jude 15, Apocalypse 19.]
Tout n’est pas faux dans ces sites, mais un mélange de vérités et
d’erreurs qui font dévier les croyants !
Que faire ?
Il n’y a pas de grand mouvement à créer, il y a un seul exemple laissé dans la
parole, c’est celui de « Philadelphie » :
« Voici ce que dit le saint, le véritable, celui qui a la clef de
David, celui qui ouvre et nul ne fermera, qui ferme et nul n’ouvrira: Je
connais tes œuvres. Voici, j’ai mis devant toi une porte ouverte que personne
ne peut fermer, car tu as peu de force,
et tu as gardé ma parole,
et tu n’as pas renié mon nom.
Voici, je donne de ceux de la synagogue de
Satan qui se disent être Juifs, — et ils ne le sont pas, mais ils mentent ;
voici, je les ferai venir et se prosterner devant tes pieds, et ils connaîtront
que moi je t’ai aimé. Parce que tu as gardé la
parole de ma patience, moi aussi je te
garderai de l’heure de l’épreuve qui va venir sur la terre habitée tout entière,
pour éprouver ceux qui habitent sur la terre. Je viens bientôt ; tiens ferme ce que tu as, afin que personne
ne prenne ta couronne. Celui qui vaincra, je le ferai une colonne dans le
temple de mon Dieu, et il ne sortira plus jamais dehors ; et j’écrirai sur
lui le nom de mon Dieu, et le nom de la cité de mon Dieu, de la nouvelle
Jérusalem qui descend du ciel d’auprès de mon Dieu, et mon nouveau nom. Que
celui qui a des oreilles écoute ce que l’Esprit dit aux assemblées. »
Apocalypse 3 v 7 à 13.
Voici les caractères à retenir :
1. Tu as peu de force ce qui est très différent des grands
développements de puissance attribués faussement à l’Esprit Saint ! et des
grands rassemblements de foules!
2. Tu as gardé ma parole, il s’agit de toute la Parole, depuis Genèse
1 jusqu’au chapitre 22 de l’Apocalypse
3. Tu n’as pas renié mon nom. Tu ne t’es pas
associée à ce monde, tu as été le reflet sur la terre de ce que j’ai fait de
toi dans la nouvelle création.
Voila, entre autres, ce
que la Parole de Dieu nous enseigne.
Une remarque sur l’évangile du
royaume et l’évangile de la grâce.
Dans une très grande partie de l’église responsable, on a oublié le
retour du Seigneur Jésus pour les siens (1 Thessaloniciens 4 v 16 & 17), ce
qu’attendaient les Thessaloniciens qui s’étaient « tournés des idoles vers
Dieu, pour servir le Dieu vivant et vrai, et pour attendre des cieux son
Fils » (Chapitre 1 verset 10). On a enseigné que l’évangile allait
améliorer l’humanité afin que le règne puisse commencer. C’est une erreur
funeste, lire le message intitulé « Venues du Seigneur
Jésus et les Jugements ».
C’est aussi la raison pour laquelle une très grande partie de l’église
responsable fait réciter la prière intitulée « Notre Père ».
Si cette prière est un bel exemple et ne manque pas d’instruction pour
le croyant d’aujourd’hui, cette prière dans ses termes, est celle que
prononcera, sans la réciter
machinalement, le résidu juif quand il passera par la grande
tribulation, celle dont parle le Seigneur Jésus en Matthieu 24.
Matthieu 6 versets 9 à 13 : «Notre Père qui es dans les cieux, que
ton nom soit sanctifié ; que ton règne vienne ; que ta volonté soit
faite, comme dans le ciel, aussi sur la terre. Donne-nous aujourd’hui le pain
qu’il nous faut ; et remets-nous nos dettes, comme nous aussi nous
remettons à nos débiteurs ; et ne nous induis pas en tentation, mais
délivre-nous du mal ».
Pour comprendre la portée de cette prière, il est impératif de se placer
dans les circonstances dans lesquelles le résidu se trouvera sous la domination
de l’Antichrist auquel est associée, ce qui reste de l’église responsable après
que le Seigneur Jésus soit venu enlever de la terre l’Eglise, corps de Christ.
C’est aussi celle qui fait réciter le « notre père ».
Le vrai chrétien ne demande pas que le nom de Dieu soit sanctifié, aucun
apôtre ne s’exprime ainsi, car sa relation avec Dieu est céleste. Mais il y a
une leçon pour le croyant, c’est que portant le nom de Dieu, de Christ, sa
marche sur la terre ne jette pas du discrédit sur le nom de Dieu.
Le vrai chrétien ne demande pas que le règne vienne, il attend le retour
du Seigneur Jésus pour les siens (1 Thessaloniciens 4). Il ne
demande pas que le règne vienne, mais demande que les âmes se tournent à salut
vers la personne du Seigneur Jésus, et pour cela, il dit clairement aux
incrédules, ce qu’est une vraie conversion
et en quoi elle consiste afin que ceux-ci se convertissent à salut.
C’est oublier la souffrance de ce résidu qui auront les pires
difficultés pour avoir leur nourriture chaque jour, parce qu’ils refuseront de
porter la marque de la bête « 666 », ils ne pourront ni vendre ni
acheter (voir apocalypse 13 verset 18 et Matthieu 24). Vous rendez-vous
compte ce que signifie ces mots « donne nous notre pain quotidien »,
pour ceux qui n’ont plus la possibilité d’acheter la moindre chose car ils ont
reçu l’évangile du royaume, et refusent d’adorer la bête, et refusent d’avoir
sa marque sur leur front ? Des chrétiens ont connu des situations très
difficiles lors de l’inquisition. Mais cela est encore incomparable avec ce que
les croyants à l’évangile du royaume connaitront.
Ceci est bien entendu un enseignement aujourd’hui pour le
chrétien : remercier et rendre grâce à Dieu pour la nourriture que Dieu
lui donne à chaque repas.
On pourrait continuer de la sorte pour chaque verset.
La leçon pour le chrétien est l’expression de sa dépendance de Dieu pour
tout et cela exprimé par la prière.
Mais utiliser littéralement le « Notre Père », comme une
litanie, n’est pas cohérant avec ce que nous présente cette prière qui vient de
la bouche de ces croyants qui traverseront la tribulation, de la dernière
semaine d’années dont parle le prophète Daniel, et dont le Seigneur fait
mention.
La prière est l’expression spontanée de l’enfant de Dieu à son Père, à
son Seigneur, lui exposant ses besoins, ses demandes et toujours en lui demandant
si cela est sa volonté.
La prière n’est pas de demander ce que l’on a envie, comme on le lit
très souvent.
La demande du vrai croyant est de demander à Dieu, son secours afin de
lui être fidèle, et de marcher en nouveauté de vie afin de l’honorer dans sa
marche ici sur la terre, et d’y refléter ce qu’il est en Christ, de vivre en
communion avec lui.
J’ai mis sur internet à disposition des âmes, des textes tels que
celui-ci, des réponses données à des questions, voici l’adresse :
http://bible.beauport.eu/Pages/DocDownload.html
http://bible.beauport.eu/Pages/Predication.html
Vous pouvez aussi relire les différents messages que je laisse sur
facebook, voici l’adresse :
http://msgfacebook.beauport.eu/Messages/MSG_LISTE.html
Si quelque chose n’est pas claire, n’hésitez pas à poser la question,
mon adresse email se trouve en bas de page.
Je ne suis qu’un simple croyant, je ne fais qu’apporter le message de la
bonne nouvelle de l’Evangile de la grâce, je ne « racole » personne
pour quelque mouvement que ce soit !
Si le Seigneur Jésus vient à l'instant pour les siens, pour ceux qui
aujourd'hui refusent l'évangile de la grâce, il
sera trop tard pour se convertir plus tard, à cause de l'énergie
d'erreur que Dieu leur enverra (2 Thessaloniciens 2 v 11). S'ils vivent
encore à la venue du Seigneur en gloire (2ème venue), ils seront
parmi les maudits, pour en final comparaître devant le grand trône
blanc (Apocalypse 20 v 11) et être jeté dans l'étang de feu
(Apocalypse 20 v 15).
Lire le message relatif aux venues du Seigneur Jésus.
« Aujourd'hui, si vous entendez sa voix,
n'endurcissez pas vos cœurs ..."
Hébreux
3 v 15.