Contenu :
Dieu parle à tous
les chrétiens, vrai et de nom
Faut-il braver la
dangerosité du virus pour rendre culte ?
La terre entière est frappée par ce fléau ! Cela crée de l’angoisse
compréhensible auprès des autorités de nombreux pays, responsables du bien-être
de leur population.
Les autorités médicales déclarent presque ouvertement leur impuissance
devant un virus dont ils ne connaissent pas son mode réel d’action, ni son
comportement à courts et longs termes. Le corps médical et tous les acteurs
liés à la santé se dévouent à l’extrême, tout en réalisant leur
impuissance ! La seule mesure de sagesse, sans manquer de rechercher
d’autres issues, il est vrai, est de nous confiner tous, afin de ralentir au
mieux la propagation de cette pandémie, mondiale !
L’heure est grave, déjà dans les pays qui jouissent des meilleures
infrastructures médicales, que dire alors de ces populations qui ne jouissent
pas des mêmes privilèges !
Les chaînes d’approvisionnement devenues mondiales sont de plus en plus
interrompues afin de tenter de ralentir la propagation de ce fléau. Quel en
sera l’impact économique et social ? Mais devant quelle catastrophe le
monde entier se trouve à plus ou moins courts termes ?
Cher ami, qui lit ces lignes, ne vois-tu pas la main de
Dieu ?
Ferais-tu partie de ces personnes,
qui devant l’ordre des autorités de rester confinées, bravent cet ordre, et il
n’y a pas d’autorité qui ne soit de Dieu ! Car la Bible nous dit :
« Que toute âme se
soumette aux autorités qui sont au-dessus d’elle ; car il n’existe pas
d’autorité, si ce n’est de par Dieu
; et celles qui existent sont ordonnées de Dieu ; de sorte
que celui qui résiste à l’autorité résiste à l’ordonnance de Dieu
; et ceux qui résistent feront venir un jugement sur eux-mêmes. » (Romains 13 v.1-2)
Malgré cet avenir plus que sombre, des personnes insouciantes, veulent
faire la fête, ou veulent se retrouver en groupe dans les parcs publics ?
Si jamais tu devais faire partie de ces personnes, je te demande d’être
attentif à ce qui suit !
C’est aussi de la part de Dieu, que les autorités médicales (et remercie
Dieu qu’il y en a) te demande de rester confiné à la maison.
Tu ne fais peut-être pas partie de ces personnes, mais tu as peur, tu as
peur de mourir, et cela peut se comprendre. Mais pourquoi as-tu peur ?
Pour recevoir une réponse à cette question, je te suggère de continuer la
lecture de ces quelques lignes.
Tu es peut-être un chrétien, du moins de nom ou par culture, et te voilà
privé du service religieux qui te donnais le sentiment d’un devoir accompli.
Alors Dieu a un message pour toi au travers cette pandémie qui te force au
confinement !
Tu es peut-être un chrétien, non pas seulement de nom mais né de
nouveau, alors à toi aussi, comme à moi, Dieu parle par cette situation, je te
suggère aussi de continuer la lecture.
Depuis environ 2000 ans Dieu fait un
appel, mais peu sont disposés à le prendre au sérieux pour leur perdition
éternelle, cet appel a été fait par l’apôtre Paul à l’aéropage d’Athènes et une
stèle y a été dressée reprenant le texte que voici :
« Dieu … ordonne maintenant aux hommes
que tous, en tous lieux, ils se repentent
… » (Actes 17 v.30)
Qui de nos jours prend attention à ces paroles prononcées par
le Dieu créateur par la voix de l’apôtre ?
Peut-être ne crois-tu pas à
l’existence de ce Dieu créateur ? Mais qui es-tu pour générer de telles
pensées, toi qui te trouves en tant qu’être créé dans le cadre de la création
de Dieu ? Ne réalises-tu pas que tu es comme un poisson rouge dans un
bocal qui voudrait expliquer qu’il n’existe pas d’océan ? Ne comprends-tu
pas que ce sont là des pensées générées par le père du mensonge, Satan ?
Il a de bonnes raisons pour cela, il veut que tu passes l’éternité en enfer avec
lui et avec ses anges ? Fais bien attention, il y a une suite au verset
mentionné :
« … parce qu’il a
établi un jour auquel il doit juger
en justice la terre habitée, par l’homme [Jésus]
qu’il a destiné à
cela, de quoi il a
donné une preuve certaine à tous, l’ayant
ressuscité d’entre les morts. » (Actes 17 v.31)
Tu ne veux pas croire en sa Parole ? Il te parle par cette
pandémie, réveille-toi de cet état de mort certaine et vois la main de
Dieu ! Et enquiers-toi pour savoir ce que tu dois faire pour
pouvoir te repentir, comme Dieu l’ordonne ! C’est bien autre chose que de
juste regretter ceci ou cela !
Nous lisons aussi :
« L’Éternel est dans le palais de sa sainteté, l’Éternel a son
trône dans les cieux ; ses yeux voient, ses paupières sondent
les fils des hommes. L’Éternel sonde le juste
et le méchant … »
(Psaume 11 v.4-5)
Le « juste » est celui qui a été rendu juste par la nouvelle
naissance, car il était avant tout aussi « méchant » que tous ceux
qui ne sont pas « juste ». Le « méchant » est celui qui n’a
pas été rendu juste, donc qui n’est pas né de nouveau, car il continue à
résister au Saint Esprit, donc à Dieu, qui veut que tous les hommes soient
sauvés, et soient « rendus justes » !
Que ton nom soit inscrit sur la liste des justes ou sur celle des
méchants, Dieu sonde tout ce que tu penses et fais !
Il le fait depuis le ciel, là où Jésus se trouve depuis sa résurrection,
mais Dieu garde ses droits, et est dans son palais, car il reste le
Roi du Royaume des Cieux ! Et le lieu depuis lequel il règne, son
palais est en accord parfait avec Lui-même : sa sainteté !
Ce qui aussi nous interpelle tous qui que nous soyons !
Ce ne sont pas seulement les « méchants » qui ne tiennent pas
compte de « sa sainteté », mais aussi ceux qui oublient qu’ils ont
« été rendus justes » par la seule oeuvre
capable de le faire : celle accomplie par Dieu lorsqu’il offrait sur la
croix, son Fils ayant pris un corps tel que le nôtre à part le péché !
Derrière cette pandémie, Dieu nous rappelle que c’est Lui qui fait vivre
et fait mourir, et si nous prenons la peine de lire sa Parole, nous y lirons
que si nous l’oublions, il continue à sonder les secrets de nos cœurs et de nos
actions, pour nous amener à les juger comme Lui les juge !
Dans le message
pour la nouvelle année 2020, j’ai eu l’occasion de faire une mise au point
qui est d’une importance capitale, en rapport avec la parabole du semeur
(Matthieu 13) et comment Dieu répond dans sa grâce à celui qui se laisse
labourer par le Saint Esprit pour être une bonne terre, propre à recevoir la
semence, la Parole de Dieu, qui produit la vie divine et éternelle.
Cher ami
qui lit ces lignes, m’inquiétant de ton avenir éternel, au cas où tu ne serais
pas né de nouveau, ou aurais la fausse illusion de l’être, permets-moi de
t’adresser ce message de vœux en montrant comment moi-même, ainsi que tous les
authentiques chrétiens, j’ai pu recevoir de la main de Dieu cette vie divine et
éternelle ! Si tu ne la possèdes pas, il veut te la donner, car Il dit
dans Sa Parole : « … notre Dieu Sauveur … veut que tous
les hommes soient sauvés … » (1 Timothée 2
v.3-4) ! Et si tu n’as pas la certitude de l’être, Dieu veut aussi te donner
cette certitude, si tu es réellement né de nouveau.
Dieu voulant que tous les hommes soient
sauvés, il est donc évident que personne ne peut dire que c’est parce que Dieu
ne l’avait pas élu, qu’il reste dubitatif quant à Dieu et à Sa Parole !
Dieu ne te demande rien, il veut tout
te donner !
La vraie raison
pour laquelle tu ne possèdes pas cette vie divine et éternelle, ce n’est pas
que tu ne serais pas élu, c’est que tu résistes au travail du
Saint Esprit ! Tu lui résistes, soit en partie, soit complètement !
Sans doute,
connais-tu la parabole du Semeur (Matthieu 13
v.3-9 & 18-23), elle décrit, comment le Saint Esprit
travaille pour que tu sois dans les conditions nécessaires et aussi suffisantes
pour recevoir la Parole qui alors produira la vie divine et éternelle en toi,
comme elle l’a fait pour tous les authentiques chrétiens depuis le jours de la
Pentecôte (Actes des
Apôtres chapitre 2) !
Quel est le message de Dieu contenu dans la
parabole du semeur ?
Voici en
résumé le sens de cette parabole du semeur. Le semeur est la personne du
Seigneur Jésus, manifestée au travers d’un de ses serviteurs. Le semeur
rencontre des terrains de différentes natures. Ces terrains représentent l’état
de ton cœur, il ne s’agit pas de tes émotions ou de tes affections, Dieu ne te
demande pas d’avoir des émotions à son égard, il s’agit de ce qui se passe dans
le secret le plus profond de toi-même, là où seul Dieu voit ! Le
« laboureur » qui travaille cette terre qu’est ton
cœur, c’est le Saint Esprit ! Les différentes qualités de
terrains y sont décrites : très dur comme l’est cette terre, le long d’un
chemin, endurcie par de nombreux passages de choses autres que la charrue du
« Laboureur », les deux terrains suivants ont laissé passer la
charrue jusqu’à un certain point, mais il y reste soit des pierres, soit les
racines de ronces et d’épines, et le dernier terrain est celui où le
« Laboureur » n’a rencontré aucun obstacle pour faire complètement
son travail. Ainsi les différents états de terrains rencontrés, les différents
états du secret le plus profond de l’homme, ne sont pas des états naturels du
cœur, dont l’un serait meilleur que l’autre, mais l’état du cœur suite au passage de la charrue du laboureur, selon
que ce cœur résiste ou pas au
travail du « Laboureur » !
En quoi consiste le travail du « Laboureur », du
Saint Esprit ?
Ce travail consiste à convaincre
l’homme, dans la partie la plus profonde et secrète de lui-même, que dans
l’état moral où il se trouve de manière naturelle, il n’a pas d’autre
perspective que, non seulement mourir physiologiquement, mais encore connaître
la seconde mort, suite au jugement qui lui sera prononcé, au grand
trône blanc, lors de la résurrection des morts, car contrairement à ce que ton
cœur naturel te dit peut-être encore maintenant, il y a bien une résurrection
pour tous ! La seconde mort consiste à vivre loin
de Dieu, en enfer avec le Diable et ses anges, dans l’éternel
regret d’avoir résisté à Dieu, en la personne du Saint Esprit et voici
ce passage de la Parole :
« …
je vis un grand trône blanc, et celui qui était assis dessus, …
… je vis les morts, les grands
et les petits, se tenant devant le trône ; et des livres furent ouverts ; et un
autre livre fut ouvert qui est celui de la vie. Et les morts furent jugés
d’après les choses qui étaient écrites dans les livres, selon leurs œuvres.
Et la mer rendit les morts qui étaient en elle ; et la mort et le hadès
rendirent les morts qui étaient en eux, et ils furent jugés chacun selon leurs
œuvres. Et la mort et le hadès furent jetés dans l’étang de feu : c’est ici la
seconde mort, l’étang de feu. Et si quelqu’un n’était pas
trouvé écrit dans le livre de vie, il était jeté dans l’étang de feu. » (Apocalypse 20
v.11-15)
Le bon terrain a les qualités requises pour que, lorsque le
« Semeur » y dépose la « Semence », qui est la Parole de
Dieu, celle-ci produise alors la vie divine et éternelle !
La « vie » apparente produite dans les terrains
2 & 3 !
Le terrain resté
rocailleux et celui où les racines des ronces et des épines n’ont pas été
ôtées, on voit un certain effet, une certaine influence de la Parole, mais
cette vie apparente n’est pas celle que Dieu donne, elle n’est ni divine et
éternelle.
C’est une
« joie religieuse » que le cœur naturel religieux aime ! On
chante un « Dieu d’amour », mais qui n’est pas connu dans sa
sainteté, la conviction d’être éternellement perdu, comme trouvé dans la
« bonne terre » est absente. C’est le cas du 2ème terrain.
Il en est
de même pour le 3ème, il y a un attachement tel au monde, que ce qui
ressemble à la vie, est rapidement étouffé dès que des racines produisent des
tiges, elles étouffent cette apparente vie, qui n’est ni éternelle, ni
divine !
Dans cet
état, la finalité est la même que pour le 1er terrain.
Si tu es
dans cet état, ne résiste plus au « labourage » du Saint Esprit, et
comprend que la finalité est aussi cette seconde mort décrite en Apocalypse
20 !
L’angoisse du cœur devenu une bonne terre
L’âme qui
ne résiste plus au « labourage » du Saint Esprit, devant cet avenir
qu’est cette seconde mort, est alors dans une détresse extrême !
Le Saint
Esprit lui montre que Dieu ne veut et ne peut rien recevoir d’elle ! Tout
ce qu’elle peut faire, n’a aucune entrée auprès de Dieu !
Toutes les
prières formulées avec les meilleures intentions, ne sont pas reçues de Dieu.
Aucune apparente « confession », aucune apparente
« repentance » qui n’est qu’un simple regret d’avoir fait ce qui
conduit à la seconde mort, tout en s’imaginant que l’on aurait pu éviter cette
seconde mort, en faisant des choses pour plaire à Dieu. Ce qui est impossible à
l’homme dans son état naturel !
Dieu ne te demande pas de te repentir, il sait que tu en es
incapable, mais il va Lui-même te donner le moyen de le
faire, car il doit y avoir repentance !
Tu voudrais
aller à Dieu, mais ta conscience te montre que cela est impossible, et Dieu
ne te laisse pas venir à lui dans cet état. Il agit envers toi comme il
l’a fait envers Adam en Eden :
« …
l’Éternel Dieu … chassa l’homme, et plaça à l’orient du jardin d’Éden les
chérubins et la lame de l’épée qui tournait çà et là,
pour garder le chemin de l’arbre de vie. »
(Genèse 3 v.23-24)
Peut-être es-tu dans cette détresse ?
Alors ne résiste plus,
n’essaie plus rien, car tu ne peux pas sortir de cette détresse ! Dieu Lui-même, voyant que la terre
« labourée » par le Saint Esprit est une bonne terre, vient alors vers toi, ne te demandant rien, il te montre ce
que Lui a fait en la Personne de Christ à la
croix !
C’est Dieu qui vient vers toi en te faisant
lire Jean 3
« Jésus
répondit et lui dit : En vérité, en vérité, je te dis : Si quelqu’un n’est né
de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. Nicodème lui dit :
Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? … Jésus répondit : En
vérité, en vérité, je te dis : Si quelqu’un n’est né d’eau et de l’Esprit, il
ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair ;
et ce qui est né de l’Esprit est esprit. … Il vous faut être nés de
nouveau. …
… comme Moïse éleva le serpent dans le désert, ainsi il faut que le fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit
en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.
Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. … »
(Jean 3 v.3-16)
Ainsi, Dieu vient Lui-même vers toi, et te
fait lire ce passage de Jean 3, où Il te dit non pas ce que tu dois faire,
mais ce que Lui a fait en
la Personne du Seigneur Jésus : « … et comme Moïse
éleva le serpent d’airain … » image de
la nécessité que Jésus, « le Fils de l’homme soit élevé … »,
sur la croix, pour être abandonné de Dieu alors qu’Il portait tes péchés et
entrer dans la mort à ta place !
Il n’y a donc aucune chose à faire, sinon
CROIRE, avoir FOI en ce
que Dieu dit et a
fait !
Il veut donc te sauver, te
donner la vie, et cela sans rien faire d’autre que de croire
qu’Il a donné son Fils unique, pour te donner la vie divine et éternelle !
Comment cette vie se manifeste-t-elle ?
Comme un enfant qui vient de naître, s’il vit, doit respirer et si il ne respire pas, cela montre qu’il ne possède pas la
vie, il en va de même de celui qui vient de naître de nouveau, la vie
divine en lui, se manifeste en tout premier lieu, sans quoi
la vie n’est pas présente, par la repentance, et la
repentance a pour objet la confession des péchés !
C’est ainsi que Dieu te donne le moyen de faire
ce qu’il exige et ordonne à
tous les hommes à savoir « qu’ils se
repentent » (Actes
17 v.30) !
Lorsqu’il
n’y a pas de repentance selon Dieu, c’est parce que l’âme se trouve
dans l’état du terrain rocailleux ou contenant les racines
des ronces et des épines. Il n’y a
alors pas la vie, et sans la vie divine, il
n’est pas possible de se repentir !
Peut-être n’as-tu pas la certitude d’être né
de nouveau
Tu t’es
laissé labourer par le Saint Esprit, et tu as réalisé ton état de perdition,
comme décrit plus haut pour la « bonne terre », tu crois ce que Dieu
dit en Jean 3, mais tu ne ressens pas que tu as cette vie, et tu entends de
nombreux prédicateurs qui prêchent ces émotions ! Ces prédicateurs
prêchent un évangile frelaté, un évangile qui a pour effet de laisser les âmes
sur des terres rocailleuses ou contenant les racines de ronces et
d’épines ! Les effets produits sont des grandes démonstrations extérieures
impressionnantes pour les sens humains, soit la promesse de prospérité
matérielle, comme « l’évangile de prospérité » ! Ce que Dieu a
en horreur !
Mais le Seigneur Jésus te pose la question suivante :
« Serait-ce insuffisant à tes yeux, ce que j’ai fait pour toi à la croix,
que tu voudrais ressentir des choses en toi ? ». J’espère que tu
diras avec moi : « non, Seigneur, je ne veux rien ressentir, je crois
sans réserve que ce tu as fait pour moi, t’offrant toi-même à Dieu, est
parfaitement suffisant ! Car c’est justement à cause de ma recherche de
ressentis, et pour m’en délivrer ainsi que du joug de bien d’autres
asservissements de mon cœur naturel, que tu as accompli cette œuvre
rédemptrice »
Ne recherche plus ces ressentis, ce que ton « moi » produit,
mais recherche la relation bénie, la
communion avec le Seigneur Jésus et avec ton Père
céleste, c’est en cela que tu trouveras le vrai bonheur !
Tu
ne resteras alors pas insensible, mais cette sensibilité n’est pas l’objet du
bonheur !
Le calendrier et l’horloge marque le temps
qui s’écoule
Dieu a créé
le temps, comme il a créé l’espace.
Si Dieu est
infini et hors du temps, la sphère dans laquelle nous vivons en tant que
créature, est limitée à la fois dans le temps et dans l’espace.
C’est
l’esprit de l’homme qui veut s’imaginer, que l’espace est infini et que le
temps n’a pas de commencement ni de fin. Et il s’efforce à tenter de le
démontrer et de s’en convaincre et en convaincre les autres ! Mais un
poisson dans un bocal, que peut-il savoir des océans ? L’homme refuse de
croire à cette limite, parce qu’il sait que s’il y a
une limite, il y a aussi un Dieu en dehors de cette limite, et que dans ce
cas il devra comparaître devant ce grand trône blanc,
pour alors connaître l’éternité, mais celle de la seconde mort !
La grâce de Dieu a aussi une limite, le temps presse, et bientôt, il
sera trop tard pour quiconque aura su, ce que Dieu a fait en la
personne du Seigneur Jésus et n’aura pas cru, ayant résisté au
« labourage » du Saint Esprit !
La Parole
de Dieu distingue la chrétienté sous 2 aspects qui sont d’une
très grande importance : la maison de Dieu et le Corps de Christ !
La
« maison de Dieu », son habitation sur la terre est composée de tous
ceux qui professent le christianisme, on y entre par le baptême chrétien. C’est
l’église, ou assemblée, responsable de son témoignage sur la terre ! Cette
maison est devenue une grande maison, car elle comprend des chrétiens qui sont
nés de nouveau et d’autres qui ne le sont pas ! Ces « maisons »
ou églises responsables sont décrites dans Apocalypse 2 & 3, dont les 4
dernières reflètent des caractères retrouvés au jour de la venue du Seigneur
Jésus pour enlever l’Assemblée ou Eglise, Corps de Christ.
Le
« Corps de Christ » est composé exclusivement de tous ceux qui sont
nés de nouveau, dispersé dans différentes « maisons », ou églises
responsables !
A tous ceux
qui, comme Simon le magicien de Actes 8, ont été baptisé mais ne sont pas nés
de nouveau, je les supplie de relire le paragraphe précédent, et ne résiste
plus au labourage du Saint Esprit, comprends ta perdition éternelle et saisis
ce que Dieu, non pas toi, a accompli à la croix en la personne de Jésus, dont
tu te réclames mais à tort de son nom !
La suite
tout en s’adressant à tous, considère s’adresser à un chrétien qui par la
nouvelle naissance possède la vie divine et éternelle.
Il est vrai
que s’il s’agissait de persécution comme certains chrétiens le connaissent
encore de nos jours, la réponse est claire que le danger encouru n’est
certainement pas un obstacle pour continuer à rendre culte à Dieu dans la
clandestinité, et dans un tel cadre compter sur la fidélité de Dieu quelle
qu’en soit l’issue finale ! Car dans ce cas il faut obéir à Dieu, plutôt
qu’aux hommes !
Mais
nous ne sommes pas dans un cadre de persécution !
Bien que
permise de Dieu, l’auteur d’une persécution est Satan au travers ses
agents !
Dans la
pandémie que nous connaissons, l’auteur n’est plus Satan, mais Dieu !
Dieu agissant dans ses voies afin d’appeler des âmes au salut, et d’user de
discipline paternelle à l’égard de ses enfants !
J’ai lu
quelque part dans un pays où le confinement est conseillé mais pas imposé,
limitant les groupes à 50 personnes, des chrétiens vouloir se réunir par groupe
de 50 pour la cène, et d’affirmer que le Seigneur les gardera de toute
contamination !
C’est faux
de se servir du verset « … ils prendront des serpents ; et quand ils
auront bu quelque chose de mortel, cela ne leur nuira point … » (Marc
16 v.18). Car nous ne
sommes pas dans ce contexte décrit ! Nous ne sommes pas dans un
cadre d’opposition venant de Satan ! C’est plutôt ne pas se
soumettre à la discipline de Dieu, qui a ses raisons pour le faire, à nous de
le comprendre !
Comme nous
avons déjà abordé cette question dans le message n°203
dont le titre est « Ce qu’est l’Assemblée (l’Eglise) et l’exercice de
la discipline ! »
Voici le contenu du paragraphe « La réunion
de Culte »
C’est l’assemblée réunie au Nom du Seigneur pour
présenter la louange et des actions de grâce à Dieu. Les frères, sous la
direction du Saint Esprit, sont la voix de l’assemblée
s’adressant à Dieu ! Sauf exception, ils ne sont pas dans ce cadre la
voix de Dieu pour l’assemblée !
La prière n’a pas sa place pendant le culte, si ce
n’est la toute première action et la toute dernière, pour se recommander à
Dieu, pour que le culte lui soit bien rendu sous la seule direction du Saint
Esprit.
Le livre du Lévitique donne des images de ce qu’est
le culte : présenter au Père ce que l’assemblée a apprécié durant la
semaine des divers caractères de Christ à savoir l’holocauste, l’offrande de
gâteaux, le sacrifice pour le péché ou le délit ! Les actions en louange
et en adoration s’expriment en principal au Père, avec le Fils pour objet, et
s’étendant au Fils qui en a été l’objet (holocauste, offrande de gâteaux,
…) ! Sauf dans le cadre du sacrifice pour le péché ou délit, l’assemblée
ne parle pas d’elle-même !
Lorsque l’assemblée ne s’adresse qu’au Fils, avec
elle-même pour objet, elle démontre l’état spirituel dans laquelle elle se
trouve ! Son cœur est vide et n’a rien à apporter au Père au sujet de son
Fils !
Le culte n’est pas une séance de lecture de la
Parole de Dieu, et ni de commentaires sur ces lectures ! Lorsqu’un frère
lit un passage de la Parole, il cesse d’être la bouche de l’assemblée pour
Dieu, mais croit devoir être la bouche de Dieu pour l’assemblée. C’est
confondre le culte avec la réunion d’édification ! Cela ne veut pas dire
que la Parole n'ait pas sa place dans des cas particuliers, par exemple,
lorsque le culte est languissant, et le Saint Esprit veut donner une nouvelle
impulsion, que l’assemblée n’a pas perçu ! Alors, L’Esprit Saint peut
conduire un frère à lire un cours passage, une expression de la Parole relatif
à ce thème. Mais jamais d’y ajouter des commentaires !
C’est au
point culminant de l’adoration, lorsque toutes les pensées de l’assemblée sont
concentrées sur l’objet du cœur du Père, que s’inscrit la Cène avec toutes les
significations qu’elle contient !
S’il y a une action qui ne convient pas d’adresser
au Père, c’est bien les actions de grâce liées à la
cène ! C’est du Seigneur Jésus que l’on se souvient, on lui parle de sa
mort, de son corps offert, de ses souffrances endurées, de la signification du
seul pain que le Seigneur a rompu après avoir béni, suivi de la coupe, le sang
séparé du corps, et toute sa signification, la coupe de la nouvelle alliance en
son sang !
Est-ce ainsi que vous rendez culte à Dieu ?
Où est-ce en écoutant un sermon, en participant à
ce qui est plutôt un spectacle comme on les trouve dans des festivals ?
Est-ce des cantiques, où des chansons colorées ça et là par le nom de Dieu ou
de Jésus ?
Ne serait-il pas utile de se poser la question de
savoir si la manière que je rends culte à Dieu, Lui convient, est-ce conforme à
ce qu’Il enseigne dans Sa Parole ?
N’aurait-Il rien à nous dire par un autre canal que
sa Parole, si nous ne la respectons pas ?
N’aurait-Il aucune raison de placer les siens sous
sa discipline de manière collective en faisant traverser aux chrétiens cette
crise qu’Il envoie !
Que pouvons-nous apprendre de cette imposition ou
dans certaines régions cette recommandation du confinement ?
Est-ce vraiment honnête de se plaindre de
l’impossibilité de rejoindre les lieux où nous avions l’habitude de nous rendre
aux cultes, avec toutes les nuances dans notre compréhension de ce mot :
« rendre culte à Dieu » ?
As-tu
déjà remarqué ce que promet le Seigneur Jésus à ceux de la maison de Dieu,
l’église responsable dont l’état est celui de Laodicée :
« … si quelqu’un entend ma voix et
qu’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je souperai avec lui,
et lui avec moi. » (Apocalypse 3 v.20)
Ce souper, ce n’est pas la cène. C’est la communion
intime avec le Seigneur Jésus, jouir de sa présence de manière
individuelle ! La substance de ce repas, c’est ce que la Parole nous
révèle de Lui, ce que le Père aime en Lui ! C’est aussi ce que la manne
qui nourrissait le peuple dans le désert représente en image !
Si tu te plains de ne plus aller à « ton
église » comme on dit de nos jours, le Seigneur Jésus te pose une
question : ce souper d’Apocalypse 3 v.20 était-il présent dans « ton
église » ? Est-ce cette assemblée de chrétiens qui apportait à Dieu
ce qu’il aime entendre de la part de ses enfants au sujet du Seigneur Jésus,
afin que comme dans l’offrande de gâteau et pour lequel « le reste de
l’offrande de gâteau sera pour Aaron et ses fils », c’est la part des
sacrificateurs, or chaque croyant est (ou devrait être) un sacrificateur.
As-tu gouté cela dans « ton église »,
pour la plupart, je sais que la réponse est « non », car le
« culte » auquel ils assistent n’a pas le caractère d’un culte rendu
à Dieu.
Peux-tu dire, alors que les actions pendant le
culte se résument à parler soit au Père, soit au Seigneur, de soi-même, sans
jamais parler au Père de ce que le Fils, devenu chair, est et a été pour
Lui ? Car c’est dans cette partie absente qu’est la substance du souper,
les restes du gâteau pour Aaron et ses fils !
Alors Dieu dans sa toute-puissance nous fait passer
par cette discipline du confinement, pour nous apprendre ce que c’est que
« souper avec Lui » et « Lui avec nous », dans une
communion intime avec le Seigneur Jésus !
C’est cela que Dieu veut t’apprendre à faire, pas simplement
à acquiescer au principe. Et alors la leçon de la discipline du confinement
sera apprise pour ton profit et pour la joie du Seigneur Jésus !
Que tu profites des ces heures, ces
jours, ces semaines de confinement pour apprécier dans une vraie communion avec
le Seigneur Jésus, sa présence dans la cadre de ce souper promis par lui :
« … si quelqu’un entend ma voix et
qu’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je souperai avec lui,
et lui avec moi. » (Apocalypse 3 v.20)
Que ce soit
ta part, comme aussi la mienne, car c’est là que se trouve le vrai bonheur, un
bonheur qui ne dépend en aucune manière des circonstances !
C’est là
que se trouve la paix que Jésus donne, celle dont Il jouissait
Lui-même en traversant des circonstances dont, ni toi, ni moi, ne peuvent en
mesurer la pénibilité ! Au-delà de cette paix, la paix de Dieu, il a aussi
prié son Père, pour que sa joie soit accomplie dans les
siens ! Une joie qui peut être réalisée, non pas dans des
jours faciles, mais dans des jours difficiles !
« Je vous laisse la paix ; je
vous donne ma paix … » (Jean 14 v.27)
« … je dis ces choses dans le
monde, afin qu’ils aient ma joie accomplie en eux-mêmes. » (Jean 17 v.13)
« Je vous ai dit ces choses, afin
que ma joie soit en vous, et que votre joie soit
accomplie. » (Jean
15 v.11)